Aventures d'un soumis larbin et moneyslave

 

Hier, ma Déesse m'a prêté à une de ses amies. Je devrai dire m'a prêtée, puisque le thème de la première partie de l'exercice était la féminisation et le travestissement. L'amie de ma Déesse est une Dame que je connais surtout par ses écrits. Ils révèlent une femme d'une grande sensibilité, d'une culture certaine et d'une intelligence raffinée. Elle a également une certaine expérience des relations D/s, ce que m'ont confirmés les exercices auxquels elle m'a soumi



Etant malheureusement à l'autre bout de la France, notre échange s'est essentiellement déroulé par mails interposés, ce qui n'a rien enlevé à la forte impression qu'elle m'a laissée.

Dès le début de la journée cette Dame prenait contact avec moi, et, après les salutations d'usage, elle m'informait du thème de l'exercice et qu'elle ne tolérerait pas de refus de ma part, enfin que ma maitresse serait minutieusement informée de mon obéissance, de ma docilité et de son évaluation quant à ma prestation.

Elle ajoutait qu'elle n'hésiterai pas à me punir et que ma Maitresse comptait bien doubler cette éventuelle sanction.

Rendez vous pris à 20h30 précises en tenue féminine ("et pas une caricature de femme!" avait elle précisé), un gode à proximité.



De quoi occuper ma journée en perplexité, et en appréhension...

A l'heure dite elle me donnait ses instructions précises dont la première consistait en un travestissement suivi d'un envoi de photos, le tout dans un temps limité...


Voici la première partie de mon envoi :

facetenue feminine, de face

dostenue feminine, de dos

profil tenue féminine, de profil

accroupietenue féminine, accroupie

 

 

(à suivre)

Mar 26 jui 2011 1 commentaire
Parfait, c'est un excellent début, bien que tu omettes de dire que le gobe était passé par le froid avant d'entrer en toi... Pour le reste, je n'ai rien à ajouter de plus par rapport à ce que je t'ai dit hier soir.

Cruellement toi, Anthinéa.
Maîtresse Anthinéa. - le 26/07/2011 à 20h49

Merci, Madame, attendez la suite, je ménagais le suspens...

Eztan