Partager l'article ! Le larbin d'Isabelle (2): Le lendemain, elle ne m’embrassa pas à son arrivée. Elle était vêtue d’un long manteau s’arrêtant sous ses g ...
Le lendemain, elle ne m’embrassa pas à son arrivée. Elle était vêtue d’un long manteau s’arrêtant sous ses genoux sur ses jambes gainées de noir. Elle portait des talons hauts. Elle était maquillée de façon très savante et assez provocatrice. Elle pénétra chez moi, et fouillant dans son grand sac à mains elle me présenta une étoffe blanche.
“ - Tiens, vas t’habiller, puis vas me chercher quelque chose à boire. ”
En fait d’habillage, je compris que je ne devais porter que cette seule étoffe qui en fait était un tablier blanc, court, comme en portent les serveuses dans certains restaurants. Je filais à la cuisine où je me dévêtis. J’ajustais le tablier à ma taille. Ainsi, presque nu, j’avais déjà une érection naissante sous l’étoffe, celle ci ne la cacherai guère quand elle sera dure. Je préparai deux verres avec des glaçons, attrapai la bouteille de whisky, et, le tout sur un plateau, j’allai rejoindre Isabelle au salon.
“ - Ah, te voilà! Pose ça sur la table et viens te mettre à genoux devant moi.
Elle avait retiré son manteau et était en jupe courte de cuir avec un bustier laissant apparaître une large partie de ses seins. Mon sexe durcissait sous le tablier que j'avais pris soin d'étaler sur mes cuisses. Elle pris un verre et se versa une rasade d'alcool.
"- Alors, dis moi, tu as suivi mes instructions ? Est ce que tu t'es branlé ? Et mets tes mains derrière le dos!
- Non ... Euh ... Madame.
- Tu es sûr?
- Oui, madame.
-Mais tu as pensé à moi, tout de même?
- Oui, je n'ai pas arrêté. -C'était la vérité-
- C'est bien. Pour te récompenser, je t'ai apporté un petit cadeau."
Elle fouilla à nouveau dans son sac et en sorti une écuelle en plastique pour les chiens, ainsi qu'un collier et une laisse.
"- Tu vas être mignon avec ça. Approches."
Je m'exécutais et elle me fixa le collier au cou. Son parfum était envoûtant. Puis elle se pencha et souleva le tablier.
"- Je vois que mon bon toutou frétille de la queue. Mais ce n'est pas encore le moment de s'amuser. Tu vas d'abord me faire un peu de nettoyage dans ce bordel."
Elle désignait la pièce où nous étions qui sans être en bordel total était assez négligée.
"- Tu peux aussi passer l'aspirateur."
Je me levais et commençait à m'affairer, la bite franchement dressée sous le tablier, le soulevant d'une façon assez grotesque. Pendant ce temps elle s'était levée et se promenait dans la pièce le verre à la main. Je pensais qu'elle devait réfléchir à la suite des événements. Puis sortit un disque de son sac et le mis dans le lecteur. Qui avait-il d'autre dans ce sac? C'était du rap. Je n'apprécie pas trop ce genre de musique. Elle, si. Apparemment. Alors que rangeait une étagère de la bibliothèque, elle vint se planter derrière moi et me mit les mains sur les fesses nues. Mon érection redoubla instantanément. Puis elle passa un doigt dans la raie de mon cul. Je n'osait pas bouger et restait les bras en l'air. Je sentis sa main passer entre mes cuisses et malaxer mes couilles.
"- Continue, ne t'occupe pas de moi."
Pendant que je terminais le rangement, elle continuait à se promener dans la pièce passant près de moi en m'effleurant et promenant au passage ses doigts sur les parties les plus intimes de mon anatomie. Mon excitation croissait à chaque attouchement et je guettais ses aller et retours. Puis je partis chercher l'aspirateur, elle quitta le salon et j'entendis ses talons se promener un peu partout dans la maison pour finir dans le bureau ou nous avions travaillé. Pendant que je passais l'aspirateur, j'étais déjà impatient de me retrouver à ses cotés. Lorsque je l'éteignis j'entendis ses talons revenir vers le salon.
"- Eh ben, c'est déjà mieux! Tu as mérité quelque chose à boire. Enlèves moi tes vêtements de travail et mes toi à quatre pattes mon toutou."
Elle vint me fixer la laisse au collier et m'entraîna jusqu'au sofa où elle s'assit. Puis elle posa l'écuelle au sol et y versa une rasade de whisky.
"- Allez, toutou, lape moi ça."
Pendant que je m'exécutais elle allongea ses jambes sur mon dos.
"- Dis moi mon grand, tu te branles souvent quand tu es seul?
- Euh ... çà dépend..." dis-je, le nez dans mon écuelle.
- Ça dépend de quoi?
En fait, je n'osais pas lui avouer que c'était une de mes occupations favorites dès que j'étais seul. Si elle se mesurait à la quantité de sperme déversé, on aurait pu qualifier ma vie sexuelle de riche. Elle s'était redressée et promenait à nouveau ses mains à plat sur mes fesses.
"- ...Euh... Je ne sais pas...
Sa main claqua sur ma fesse. Je fus surpris.
"- Combien de fois? Tous les jours?
- Euh... oui... et parfois plusieurs fois...
- Tu vois que tu peux être sincère avec moi.
Et elle m'administra une seconde claque sur l'autre fesse.
"- Et depuis quand tu n'as pas baisé avec une femme?
-...
- Répond! Dit-elle en me claquant les fesses.
- Ça fait au moins un an et demi.
- Bien... Au fait, tu l'as toujours ce petit gode que j'ai vu sur tes photos?
- C'est que ... je ne l'ai mis qu'une fois... pour les photos justement.
- Alors ça fera deux, apporte moi de la vaseline aussi.
Quand je fut de retour, mon érection avait un peu faiblit; Elle était assisse au bord la table et saisit ma laisse pour me faire approcher. Elle prit mes couilles à pleines mains et commença à me branler doucement. L'effet fut immédiat. Puis elle me fit écarter les jambes en donnant de petites tapes de sa main libre sur l'intérieur de mes cuisses. Son index s'insinua jusqu'à mon trou qu'elle toucha doucement. Puis elle l'humecta de sa salive et recommença l'opération. Ses caresses et la vue que j'avais d'en haut sur ses seins et ses cuisses ne tardèrent pas à m'exciter pour de bon. Je commençais à trembler de tout mon corps. Elle s'interrompit brusquement.
"- Allez, mon toutou, mets toi sur le dos, les quatre pattes en l'air."
Elle s'accroupit près de moi et versa quelques gouttes de vaseline au creux d'une main. Elle m'enduit le fondement et introduit un doigt dans mon trou. La sensation n'était pas nouvelle pour moi, car je m'y étais déjà initié moi-même, mais là, son doigté m'arrachât un gémissement de plaisir.
"- Tu aimes ça, hein. Dis-le!
- Oui, j'aime ça.
- MADAME, tu m'appelles madame, tu as compris?
- Oui, madame.
- Dis moi que tu aimes que je te doigte le cul.
- J'aime sentir votre doigt dans mon cul, madame.
- Et comme ça?"
Elle venait de faire rentrer ensembles l'index et le majeur. Elle leur appliquait un mouvement de rotation plus appuyé.
"- Aaaah... Oui, madame.
- Dis donc, il est bien petit ce gode. T'as pas plus grand?
- Non, madame.
- On fera avec pour cette fois."
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