Le larbin d'Isabelle (3)

Elle l'enduisit de vaseline et l'amena prestement contre l'entrée de mon trou et l'enfonça doucement avec le même mouvement de rotation. Et brusquement je le sentis s'enfoncer en moi. Ce ne fut pas douloureux, mais je sentais très nettement forcer mon sphincter. Elle me fit mettre debout et retourna à son sac à main. Quoi encore? Elle en sortit une fine cordelette blanche formée de deux brins liés par un noeud plat en leur milieu. Elle passa derrière moi et me réajustât le gode qui avait glissé dans le trou puis maniant de sa corde avec dextérité je senti qu'elle me le gardait bien enfoncé et passant devant moi je la vis nouer deux extrémités à la taille et les deux autres passèrent de part et d'autre de mes couilles pour remonter à ma queue qu'elle saucissonna artistiquement. Elle fit encore des noeuds dans mon dos. Le gode était calé dans mon fondement tandis que ma queue gonflait toujours sous ses liens.

Elle me laissa debout en contemplant son oeuvre, tandis qu'elle se calait au fond du sofa en gardant ma laisse en main.

"- A quatre pattes!" ordonnât elle. Je me retrouvais la tête entre ses deux jambes, quand un pied vint peser sur la laisse m'obligeant à baisser la tête jusqu'au sol.

"- lèches moi!" dit elle.

Dans la position où j'étais j'avais peu de choix, seuls ses talons hauts m'était accessibles. Je commençais donc à les lécher avec application. D'ailleurs elle ne tarda pas à me donner un talon à sucer, ce que je fis avec ardeur. Je me doutais aussi que tôt ou tard elle me laisserait remonter le fil de ses jambes pour me donner sa grotte à lécher. Et cela je l’attendais car si j’étais novice en soumission je ne l’étais pas en léchage de chatte, l’exercice m’ayant toujours attiré si bien que j’avais acquis avec l’expérience une certaine dextérité. Je désirais plus que tout m’attirer les bonnes grâce de ma maîtresse, et là, je me voyais en terrain conquis! J’observait quelle caressait déjà sa chatte à travers ses dessous. Prenant l’initiative je remontait ma langue vers ses chevilles puis ses mollets. Elle me laissa faire, alors je remontais consciencieusement chacune de ses cuisses. J’arrivais au haut de ses bas pour atteindre sa peau nue. Je redoublais d’ardeur la léchant à grandes lampées. Mais sa main s’immobilisa sur son sexe et ne me permit que de lécher la mince bande de peau entre sa main et ses bas. Je suçais aussi ses doigts qu’elle me tendit obligeamment. J’étais follement excité par son corps superbe, l’odeur de son sexe et le gode qui s’agitait dans mon cul à chacun de mes mouvements.

“ - arrête! Met toi à genoux! Mains derrière le dos. ”

 

Je l’étais déjà, je n'eus qu’à passer mes mains en arrière. Entre temps elle se leva et retira sa culotte dont elle me coiffa, l’élastique sous le nez. Elle se tourna.

“ - lèches moi le cul ” dit elle d’une voix calme. Moi je n’étais plus en état de verbaliser et je me précipitais à genoux le nez dans le cul de ma maîtresse. Je la lapais avec ardeur, essayant d’introduire ma langue dans son trou. Ce qu’elle sembla apprécier sa main redoublant ses va et vient sur sa chatte qu’elle avait recommencé de branler. Puis elle se retourna, et j’eu le bonheur de goûter à son jus. Je donnais le meilleur de moi-même, offrant à ma maîtresse le fruit de mon expérience; elle continuait à s’astiquer le clitoris laissant à ma langue le soin de combler sa fente. Elle jouit bruyamment après m’avoir à nouveau présenté son cul à lécher. J’en profitais pour me servir de mes mains pour écarter ses fesses et tenter d’enfoncer un peu plus ma langue dans son trou. Elle aimât cela car elle me flatta d’une caresse sur la tête. Une fois apaisée elle se redressa et ordonna :

“ - A quatre pattes sur la table. ”

Intrigué, je m’exécutais, attendant la suite. Elle défit un noeud et tout le harnachement qui m’emprisonnait tomba presque de lui même. Le gode sortit un peu de mon cul, ce qui me rappela sa présence que j'avais un peu oublié avec toutes ces émotions. Elle me le remit doucement en place et commençât un mouvement de va et vient qui m'arrachât un gémissement.

"- Tu aimes te faire défoncer le cul? dit-elle, constatant l'évidence.

- Oui, madame... Mmm

- Alors, dis le moi. Je veux t'entendre.

- Oui, madame, j'aime quand vous me défoncez le cul... Oui, madame, j'aime ça... Oh oui, madame, j'aime quand vous branlez ma queue ... Oui! ... Encore, oui... J'aime ça madame."

Je sentais que j'allai jouir rapidement sous sa double caresse, quand elle s'arrêta brusquement.

"- dis moi mon petit cochon, tu voudrai devenir mon soumis?

- Oui... oui, madame ... Oui, s'il vous plait."

En disant cela j'étais plus intéressé par l'avenir très immédiat, que par un futur lointain. Je sentais ma queue prête à exploser dans la main qui la tenait fermement.

"- Alors dis moi, ce que tu pourra faire pour moi...

En disant cela elle enfonça le gode du plus profond qu'elle put, je sentis une nouvelle onde de plaisir rayonner dans tout mon bas ventre.

"- Je serais votre soumis ... votre esclave... madame..."

Elle recommença à branler lentement ma bite dirigée vers le sol.

"- Oui... Oui, madame... Je serai votre petite pute soumise... Oui... Votre valet... Votre petit porc qui vous lèche le trou."

Le mouvement de sa main et du gode s'accélérèrent, je sentais que je perdais pied.

- Oui... Encore... Oui... Votre toutou... Oui... merci...merci...madame...encore...encore...Aaaaaaaaaaah."

J'éjaculais d'un jet long et puissant, le corps secoué de spasmes. Elle me retira le gode provoquant une nouvelle vague de plaisir et exprima les dernières gouttes de sperme de ma verge. Puis elle vint se camper devant moi et fis jaillir une paire de seins magnifiques de son bustier. J'étais toujours à quatre pattes sur la table du salon, haletant et le corps agité de tremblements. Elle me pris par les cheveux et me planta le nez au milieu de sa splendide poitrine. L’odeur de son corps envahit mes narines. Je sentis mon sexe douloureux se redresser à nouveau. Après un court instant elle me repoussa.

"- Je veux que mes soumis prennent soin de leur corps. Pour commencer tu vas mettre ce masque de beauté sur ton visage." dit elle en désignant la petite flaque de sperme sur la table. Sans discuter, je me mis à genoux sur le sol, et, recueillant mon jus avec mes doigts je m'en enduisis le visage évitant soigneusement mes lèvres.

"- Voilà, c'est bien. Je suis sûre que tu adores mater ces films où les femmes se font gicler sur le visage. Te voilà un peu comme elles maintenant... Allez! Vas passer un coup d'éponge sur cette table."

Lorsque je revins avec mon éponge, elle avait retiré sa jupe et son bustier. Elle n'avait plus que ses bas et ses hauts talons. Elle titillait son clitoris avec un vibromasseur nickelé qu'elle avait sans doute sorti de son sac! Son corps parfait ondulait doucement sur le sofa. Cette scène en photo ou en vidéo m'aurait déjà incité à de furieuses branlettes, mais, là, c'était devant moi, dans mon salon, que cette créature rêvée se donnait à voir!

"- Debout face à moi, jambes écartées."

 

Le vibro avait rejoint sa grotte luisante. Elle pinçait la pointe de ses seins de l'autre main. Je me mis en place, la bite en avant.

"- Allez, toutou, branles toi puisque tu aimes ça. Tu as trois minutes pour gicler."

Je ne me le fis pas dire deux fois. Ma main astiquait mon dard à grands coups, pendant que je me régalais sans aucune vergogne du spectacle qui s'offrait à moi. Nous jouîmes presque ensembles comme de vieux amants...

Puis tout alla très vite, elle se leva, ramassa ses affaires qu'elle fourra dans son sac (décidément, la caverne d'Ali Baba!), puis recouvrit sa nudité du manteau qu'elle portait à son arrivée.

"- approches."

Elle m'empoigna à deux mains par la queue, lui redonnant un peu de dur.

"- Écoutes, demain, tu m'invites au restaurant, je passe te prendre à midi. D'ci là, j'ai encore besoin de ton ordinateur. Vas me le chercher."

J'obéissais. En le lui apportant elle me fis une bise sur la joue accompagnée d'un éclatant sourire.

"- A demain... Au fait, si tu veux te branler encore, cette fois ci tu peux."

Je baissais la tête et ne pus rien répondre d'autre que : "merci... merci, madame."

Je me retrouvais seul, nu, avec une laisse et un collier de chien, la pine et le cul douloureux.

 

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Au cours de la soirée et de la nuit suivante, je profitais plusieurs fois de l'autorisation qui m'était donnée, j'éprouvais presque un sentiment de reconnaissance envers celle qui me l'avait accordée. Je m'interrogeais sur son invitation, et aussi sur le néant où allait retourner ma vie quand elle retournerait loin à ses études.

Elle arriva à midi pile, vêtue de la robe légère qu'elle avait la première fois. Elle opta sur mes conseils pour un restaurant chinois près du centre. J'étais un peu inquiet en redoutant ce qu'elle attendait de moi dans ce lieu public.

- Détends toi, je ne vais pas te faire faire le service sous la table. Pas assez mûr pour ça!

Je n'avais que 23 ans de plus qu'elle!

- Non, je veux juste te demander si tu veux continuer avec moi...

Continuer? Continuer quoi? Sans doute pas pour son travail! Mais être son amant quand on vit si éloigné???

- Ben... oui... mais... .Tu es si loin. Les mots sortaient difficilement.

- Au siècle de l'internet et du TGV, on n'est jamais très loin. Et je n'ai pas besoin d'un valet à domicile pour l'instant. Si tu veux devenir un vrai soumis, tu as besoin d'être encore éduqué, crois moi. Je me propose d'essayer. Je t'appellerai, tu devras m'envoyer des courriers et des photos, cela pendant trois mois. Après cela je déciderai si je te permets de me rendre visite.

- Mais...

- Ne réponds pas tout de suite. Je t'ai rapporté ton ordi, tu trouveras un fichier expliquant les détails de ce que j'attends de toi. Tu es libre d'accepter ou de refuser. Si c'est non, je te demande un dernier service, c'est de vérifier mon travail pour l'université, tu trouveras aussi les fichiers sur l'ordi. Je crois que j'ai terminé sans ton aide, mais envoie moi tes remarques par mail.

Son assurance me troublait. Malgré son jeune age, je me sentais un petit garçon en face d'elle. Elle m'annonça aussi qu'elle reprenait le train aujourd'hui même vers la Provence, ayant un rendez vous important là-bas. Elle ajouta qu'elle avait voulu me revoir avant. Le repas se termina et elle me reconduisit chez moi, avec la voiture prêtée par sa mère. Arrivés devant ma grille elle planta son regard dans le mien, et massa mon sexe à travers l'étoffe de mon pantalon.

- J'espère que ce n'est pas un adieu...

Et elle approcha son visage du mien, puis m'embrassa à pleine bouche. Je lui rendis son baiser. Puis elle m'ouvrit la porte.

 

- Au revoir. Bredouillai je. Elle ne répondit pas et démarra en me laissant sur le trottoir la sacoche de l'ordinateur au bout du bras. Je me ressaisit et rentrais chez moi. Je branchais immédiatement la machine et je trouvais facilement les fichiers qu'elle m'avait laissé. J'ouvris celui nommé "Mes conditions". Il y avait deux pages de texte. Le style était élégant et agréable. Elle revenait sur les visites qu'elle m'avait faites, déclarant qu'elle me trouvait de réels atouts. Puis elle me détaillait ce qu'elle souhaitait. Elle voulait recevoir de moi une lettre d'au moins deux pages expliquant ma motivation, puis au moins une toutes les semaines par courrier ou par mail. Je ne devais pas lui téléphoner. Elle exigeait aussi que je définisse une plage quotidienne d'au moins deux heures ou j'attendrai chez moi qu'elle me contacte. Je devrai aussi lui signaler à l'avance mes jours de vacances ou de RTT. Dernier détail, je devais lui faire cadeau d'un ordinateur portable à expédier à son adresse. Cela facilitera nos rapports, ajoutait elle.

(à suivre)

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