une histoire à suivre

      Le larbin d'Isabelle (1)


Depuis quelque temps déjà je surfais sur des sites Internet dédiés au SM. Cela avait été une vraie révélation pour moi, quelque chose qui sommeillait en moi depuis toujours ...

J'éprouvais une émotion particulière pour les scènes de domination féminine, Je commençais aussi a me rendre sur des sites de chat payants, a me faire humilier en direct par téléphone ou MSN, je me montrai nu, a quatre pattes, une carotte dans l’anus... puis j’ai été pendant quelques mois l’otage d’une maîtresse qui m’envoyait ses consignes par mail en me demandant témoignage et photos de la bonne exécution de ses ordres. J’ai ainsi été travesti a plusieurs reprises , d’abord chez moi, puis en extérieur, je me suis enfoncé dans le cul une variété d’objets qui me laisse pantois; j’ai d’ailleurs du apprendre a fréquenter les sex shop pour m’équiper...

Depuis trois ans, je n'avais pas vue Isabelle. Elle avait 21 ans et terminait des études de commerce. C'était la fille qu'avait eu mon ex-femme avant notre rencontre, et je ne l'avais pas vue depuis le divorce. Elle m'appelait de sa lointaine Provence où elle faisait ses études. Elle m'expliquait qu'elle passait voir sa mère dans la région, et qu'elle souhaitait me rencontrer pour que je lui donne quelques explications en matière de comptabilité -domaine où j'ai quelques lumières- pour son mémoire de fin d'études. J'acceptai avec plaisir et lui fixai rendez-vous chez moi une quinzaine de jours plus tard.

Pendant ces quelques jours je me remémorait ce qu'avaient été les années où nous vécûmes sous le même toit : de ses 4 ans à ses 11 ans jusqu'à ce qu'elle aille vivre chez son père. Les relations n'étaient pas toujours faciles avec elle, malgré ma bonne volonté. Elle ne gardait pas un si mauvais souvenir si elle faisait appel à moi aujourd'hui. Je me demandais à quoi elle pouvait ressembler depuis le temps que je ne l'avais pas vue. Depuis trois ans, j'avais le souvenir d'une adolescente très boutonneuse aux seins naissants mais dont la grâce naturelle rappelait ce qui m'avait séduit chez sa mère.

Quinze jours plus tard elle sonnait à ma porte et je fus estomaqué de la réponse à ma question. Elle avait un visage fin et souriant encadré par des cheveux bruns coupés courts. Sa robe d’été moulait sa généreuse poitrine et sa taille fine. Je restais interdit sans savoir que dire ou que faire... Elle m’embrassa avec entrain sur la joue, je senti alors sa délicate odeur à peine rehaussé d’un parfum bucolique. Je la fis entrer, et à peine installée dans le sofa du salon, je lui proposait un rafraîchissement tant j’avais besoin de m’activer pour reprendre mes esprits. II est vrai que depuis plusieurs années peu de femmes avaient pénétré dans mon logis et aucune qui soit si jeune et si attirante. Je revins auprès d’elle au salon pour nous servir à boire, et je m’installais face à elle. Nous échangeâmes quelques banalités d’usage sur son voyage et son séjour dans la région, je lui demandais des nouvelles de sa famille et la questionnais sur sa vie et ses études. Tout en parlant je la contemplais plus en détail en m’attardant sur ses longues jambes que sa robe et sa position me laissait deviner. Puis nous en vînmes au but de sa visite et nous nous installâmes à ma table de travail. Je me concentrai d’abord à cerner les données de son problème et sonder ses connaissances. Je m’aperçu rapidement qu’il faudrait plusieurs séances de travail à raison de deux à trois heures chaque fois. Je le lui dit et lui proposai un plan de travail. Elle m’approuva et me remercia de mon aide car ce travail était la dernière étape de son cycle universitaire et elle avait repoussé l’échéance se sachant peu intéressée par la matière. Elle était donc prête à prolonger un peu son séjour dans la région si cela pouvait lui permettre d’en finir avec cette épine dans le pied. Nous nous mîmes d’accord pour qu’elle vienne dès le surlendemain. Comme je lui indiquait quelques taches qu’elle pouvait accomplir seule elle me dit qu’elle n’avait pas d’ordinateur à sa disposition :

-  j’ai pas de portable, et tu connais ma mère, le jour où elle installera un ordinateur chez elle... ”.

Je savais, oui. Réfléchissant vite, je lui proposais de m’emprunter le mien pour ces deux jours, cela lui permettrait d’avancer le travail. J’ajoutais que je pouvais m’en passer pour deux jours. Je lui prêtais donc mon ordinateur...

 


A peine sa voiture eut-elle tourné au coin de la rue qu’une brusque pensée vint rompre le charme de sa visite : “  le cdrom !!! Il est resté dedans!”. C’était un CD que j’utilisais parfois pour aller sur des sites de chat avec l’ordi du bureau. Il contenait des photos et des textes que j’échangeai parfois avec des correspondantes lors de mes chats. Inutile de préciser que tout cela était très explicite sur mes inclinaisons : les textes était des nouvelles écrites de ma main, certaines photos glanées sur Internet mettaient en scène des hommes humiliés voire torturés de toutes les façons imaginables par des femmes ou des groupes de femmes. Mais le pire était que l’unique acteur du reste des photos c’était moi! Je m’étais en effet pris en photo pour envoyer mes oeuvres sur le net, à des forums SM ou des correspondantes curieuses. On m’y voyait nu dans toutes les positions en érection ou pas, ainsi que vêtu en femme, en soubrette, et même avec un gode dans le cul!

J’en étais chaviré. Comment allais je pouvoir affronter son regard dans deux jours. Lui expliquer que tout cela n’était que de l’ordre du fantasme, et qu’à part une mauvaise expérience chez une professionnelle il n’y avait rien de réel là-dedans. Allait elle en parler à sa mère ou à sa demi-soeur (ma fille)? J’étais terrifié des conséquences... Jusqu’au soir je ruminait de sombres pensées, m’imaginant contraint de céder à mon ex-femme sur toutes ses exigences : pension alimentaire, droit de visite de ma fille... sous peine de voir mes turpitudes être étalées devant un tribunal. Je dormis très mal cette nuit là. Je me réveillais en pleine nuit avec l’image des seins gonflés que j’avais contemplé pendant que nous travaillions...

 

 

 

 

 

 

Deux jours de tourments plus tard je n’avais toujours rien résolu quant à l’attitude à adopter devant elle. Elle m’embrassa sur la joue comme la fois précédente et me dit aussitôt : “  On s’y met tout de suite ? Je crois que j’ai pas mal avancé. ”. J’aquiescais et lui fis signe d’entrer. Elle portait dans ses bras la sacoche de l’ordinateur et me dévisagea pendant que je le regardais. Je senti le rouge me monter au front quand apparu un soupçon de sourire sur ses lèvres. Puis elle entra vivement et se dirigea vers la table de travail...

Elle avait effectivement bien avancé et une fois que je lui eut expliqué les points qui lui demeuraient obscurs, nous convîmes qu’une dernière séance de travail nous permettrait d’en terminer nonobstant le travail de mise en forme qu’elle était mieux en mesure que moi de réaliser. Pendant ces deux heures elle était restée très concentrée sur ce que nous faisions et il n’y eut aucune allusion au cdrom. Étant dans mon domaine je retrouvais une certaine assurance, et je me permettais quelques coups d’oeils sur mon “ élève ”. Elle était vêtue aujourd’hui d’une façon beaucoup plus élégante avec un tailleur court au décolleté plongeant. Sa peau mate s’harmonisait avec le noir de l’étoffe, et l‘éclat de ses yeux sombres était rehaussé par des boucles d’oreilles. Peu à peu l’angoisse liée à l’affaire du cdrom cédait la place à la concupiscence dans mon esprit, et mes penchants reprenant le dessus je m’imaginais à ses pieds léchant les escarpins que j’avait aperçu lorsqu’elle était entrée, ou je voyait ses gros seins effleurer mon visage alors qu’elle m’attachait les mains. Plusieurs fois je rougi alors qu’elle m’observait perdu dans mes pensées.

Une fois terminé notre labeur, elle baillât et s’étira longuement laissant admirer ses formes avantageuses. Puis elle déclara :

“ -Bon, merci, je vais pas te déranger plus longtemps, tu as peut être quelque chose de prévu ce soir? ”

Panique à bord! Je ne peux pas la laisser partir sans savoir si elle a vu ce fichu cdrom!

“ - non au contraire tu ne me dérange pas! Je t’offre quelque chose à boire?

- oui apporte moi un whisky s’il te plait. ”

Réflexe de vieux con? Réminiscence d’un passé de (mauvais) père de substitution? Toujours est-il qu’il m’échappa un :

“ - Tu bois de l’alcool, maintenant?

- Comme tu peux voir ... à chacun son petit vice caché, tu n’es pas d’accord?

- si, bien sûr, excuse moi. ”

Là, j’était rouge pivoine! Je le sentais! Je m’enfuis vers la cuisine pour préparer deux whiskies bien tassés, j’agrémentais le tout avec quelques olives et je la rejoignais au salon jusqu’où j’avais entendu claquer ses escarpins. Elle ne m’attendait pas assise dans le sofa. Elle était à cheval sur la table du salon. Son tailleur relevé haut sur les cuisses, sa position mettait en valeur ses interminables jambes gainées de bas noirs. Je restait mon plateau à la main sur le seuil du salon, mon regard détaillant ses cuisses, ses genoux, le galbe de ses mollets et pour finir sa cheville délicate emprisonnée dans le cuir de ses escarpins. Quand mon regard remonta il tomba tour à tour dans le sien et sur le cdrom qu’elle tenait à la main.

“ - J’ai regardé ça très attentivement... Je te rassure tout de suite, je n’en ai parlé à personne. ”

Elle lisait dans mes pensées. J’étais tétanisé.

“ - Je vais te le rendre, mais d’abord je voudrais en parler avec toi, tu veux bien? Sers moi à boire et assieds toi sur le pouf. ”

Ce que je fis sans dire un mot. Elle s’assit sur le haut du sofa ménageant un écartement entre ses genoux permettant d’entrevoir la nudité du haut de ses cuisses et le noir de ses dessous. Elle avait largement dégrafé sa chemise et son buste incliné vers moi laissait admirer le sillon entre ses seins généreux. Elle but une longue gorgée de whisky, j’en fis autant.

“ - Tu t’intéresse à la domination féminine?

- Oui ... euh... non... c’est juste un fantasme, rien de bien méchant.

- C’est depuis que ma mère t’a quitté?

- Oui... Non...enfin, si, ..., ça remonte à cette période là, oui.

- Et tu as déjà pratiqué en vrai? ”

Je n’allais pas lui avouer mon expérience malheureuse avec cette femme trouvée dans une revue spécialisée. Elle était grosse, vieille et moche, et j’avais toujours eu de belles femmes dans ma vie sexuelle “ classique ”, en plus de cela, elle était vulgaire sans désirer l’être; mon excitation de l’inconnu et de l’interdit avait vite cédé la place au dégoût, et je m’était enfui piteusement après avoir payé mon du.

“ - Ce n’est que du virtuel, rien de bien méchant. ”

Elle me dévisageait et je devais donner piètre allure, je repris une longue rasade de wiski pendant qu’elle continuait à m’observer. Je ne pouvait soutenir son regard, aussi le mien se perdait il sur ses jambes fermes, sur sa poitrine vertigineuse. Je pensais enfin que j’étais soulagé qu’elle n’en ait parlé à personne. L’alcool et sa présence aidant, je sentais poindre une excitation dans le milieu de mon corps...

“ - Mets toi debout. ”

Elle a dit. Je l’ai fait. Sans y penser. Je suis resté là les bras ballants la regardant se caler au fond du sofa en repliant une jambe. J’étais fasciné. La femme qui se montrait ainsi à moi était plus désirable que bien des beautés sur les photos desquelles je m’étais masturbé longuement.

“ - mets toi nu, maintenant. ” 

Je lui fus presque reconnaissant de prendre en main les événements car j’étais trop troublé pour savoir comment réagir. Je commençais donc par mon pull, puis mon tee-shirt, je descendis mon pantalon et le retira. Il était évident que sous mon slip je bandais déjà bien. Gêné, j’allai continuer ce strip-tease sans classe par mes chaussettes, ultime étape avant le dernier rempart de ma nudité.

“ - stop! Reste comme tu es! Redresse-toi

- ...

- Je te fais de l’effet, on dirait.

- ...

- tournes un peu, que je vois... Pas mal, tu es bien conservé, comme sur les photos. Tu fais du sport?

- ouais, un peu de vélo et je vais à la piscine deux fois par semaine.

- MADAME, tu m’appelles madame, compris?

-...

-Compris?

- Oui ... madame.

- Tu retournes à la cuisine et tu me rapportes d’autres olives et une assiette creuse.

- Oui, madame. ”

 

Je filai dans la cuisine chercher ce qu’elle avait demandé, heureux de me soustraire à son regard. Je revins les yeux baissés vers le sol, toujours en chaussettes et en slip, ce dernier ne cachant plus que partiellement mon émoi. Alors que je déposai l’assiette et les olives sur la table basse elle me dit:

“ - met l’assiette par terre et approche. ”

 

Mon sexe était dressé et le gland dépassait du slip. Elle y plongea la main et me caressa doucement les couilles. Je restais au garde à vous devant elle. Puis, elle empoigna mon sexe, le decallota et commença à le branler doucement. Je fondais littéralement sous la caresse et pliai les genoux. Elle ramena brusquement l’élastique du slip sur mon instrument et dit:

- tu n’as pas honte? Devant une jeune fille! Mets toi à quatre pattes face a moi! ”

Je m’exécutai, et entre temps elle plaça l’assiette entre ses deux pieds. Elle saisit la bouteille de whisky et en versa dans l’assiette.

“ - Tiens! Tu as l’air d’un bon toutou ! Tu vas me laper ça. Elle me prit par les cheveux et approcha ma tête du liquide. Je lui obéissais.

“ - C’est un bon toutou ça. Lape bien tout et va faire le tour de la table que je vois comme tu es beau. ”

Est-ce l’effet de l’alcool ou celui de la caresse de sa main sur mon dos? Je lapais mon whisky avec avidité et fis un tour de table à quatre pattes.

“ - bien, maintenant tourne toi.

-...

- baisse ton slip et écartes les fesses... Mmm... Faudra me raser tout ça... Bon! Tu veux le récupérer ce cdrom?

-... oui... euh... c’est à dire... oui, madame.

- alors tu te retournes à genoux face à moi et tu te branles devant moi. ”

Je restais un moment sans rien faire, restant là, les fesses bien écartées devant cette femme assise dans mon sofa. Puis prenant conscience de la situation, je me retournai vers elle en me disait qu’après cette humiliation tout pourrai redevenir normal. Elle me faisait face, et avait relevé son tailleur jusqu’au haut des cuisses et se masturbait doucement à travers son slip. Ainsi encouragé, je me mis à l’ouvrage. Elle adoptait des poses provocatrices en me regardant dans les yeux. Je baissais les miens.

“ - regarde moi! Je ne te plait pas?

- si... beaucoup...han...

- Tu veux voir ma chatte?

- oui, madame. ”

Lorsqu’elle écarta son slip pour me faire admirer son joyau serti de poils bruns, le mouvement de ma main s’accéléra et bientôt j’éjaculai devant elle en poussant de grands soupirs.

“ - C’est bien! Tu as gagné ça. Je te vois demain. Même heure. ”

Elle me jeta le cd entre les cuisses, sur mon sperme tout frais, et s’en alla en récupérant sa veste au passage. Elle me laissait partagé entre le soulagement d’avoir récupéré le cd, la joie d’avoir pu accomplir un de mes fantasmes et l’inquiétude face à ce qui m’attendait le lendemain.

 


J’allais me doucher puis me rhabiller, en en profitant pour nettoyer le cd enduit de mon propre foutre. Puis je sortir de chez moi pour faire quelques courses dans l’espoir de me changer les idées. C’était peine perdue, le souvenir de ce que je venais de vivre m’empêchait de me concentrer sur quoi que ce soit d’autre. Je rougis devant la caissière du supermarché quand elle me salua, honteux des pensées qui m’assayaient. La nuit commençait à tomber lorsque je rentrais chez moi, je posait mon sac à provision et m’affalais dans le sofa. Je défis ma braguette et commença à me branler doucement en m’imaginant être à nouveau devant celle qui m’avait soumis. Soudain mon téléphone portable se mit à sonner, je décrochait de ma main libre :

“ - Allo?

- C’est toi, Jacques?

- Dis moi, c’était la première fois que tu te soumettais à une femme en sa présence? Sois franc, s’il te plait, c’était une première pour toi? ”

Je décidais de ne pas être franc justement et de passer sous silence la piètre expérience réelle que j’avais eu :

“ - Oui c’était la première fois

- Et tu n’as pas été trop déçu? ”

Comment lui dire que son image ne m’avait pas quitté depuis son départ, et que mon sexe était douloureux d’avoir bandé.

“ - Euh... non... au contraire.

- C’est bien. Et tu as envie de recommencer?

- Euh ... oui.

- C’est très bien. Je viendrais te voir demain. On laissera un peu le travail de coté. Tu es d’accord?

- Euh ... oui.

- Mais il y a une condition.

- Oui?

- Pas de branlette ce soir! Ni avant que je n’arrive. Tu as bien compris?

- Oui.

- Oui, qui?

- ... oui, madame. ”

Et elle raccrochât. Je me retrouvais tenant mon sexe dressé dans la main dont le mouvement s’était suspendu. Ça n’allait pas être facile de lui obéir...

 

Le larbin d'Isabelle (2)

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