Partager l'article ! Plus de peur que de mal: ma première correction.: A cette époque j'avais noué une relation avec une jeune femme de la région parisienne. Nous ...
A cette époque j'avais noué une relation avec une jeune femme de la région parisienne. Nous avions longuement échangé par cam et par mail avant de nous rencontrer. Après quelques semaines, et à l'approche de l'été, elle avait souhaité faire un petit séjour chez moi, au bord de la mer. J'avais fébrilement préparé cette visite selon ses instructions: menus, tenues, sorties, etc...
Elle m'avait aussi annoncé qu'elle désirait régler, avec moi, quelques comptes concernant une faute que j'avais commise et qu'elle voulait punir autrement que pas les lignes à copier, les pénalités financières ou le port de la cage de chasteté dont elle me gratifiait régulièrement en cas de manquement.
J'étais vaguement inquiet, mais l'esprit occupé à préparer sa visite, je n'en faisais pas une fixation. J'avais, de toutes façons accèpté dans mon fort intérieur un mode de punition que je savais inéluctable, voire nécéssaire...
J'étais donc allé la chercher à la gare d'un coeur léger, et la journée s'était bien passé, étant très heureux de la retrouver et de lui faire découvrir mon cadre de vie. La soirée avait commencé par une petite sortie au restaurant et une ballade au clair de lune sur les remparts. Puis nous sommes rentrés chez moi.
Après avoir bu quelques verres, elle me fit procéder à un traditionel léchage de pieds puis me fis mettre nu. Elle renfila ses bottes qu'elle avait quitté et me fis les faire reluire avec sa langue.
Elle avait beaucoup bu (champagne, vodka) quand elle a voulu essayer son nouveau jouet sur moi. J’ai eu très peur (et très mal!) quand elle s’est mise à taper de toutes ses forces d’entrée de jeu... Puis, s’y prenant (au jeu...), elle a annoncé une série dont je ne me souviens plus du nombre, mais il paraissait bien loin. Je résistais tant bien que mal,
Quand un coup violent s’est asséné sur mes parties intimes que j’avais imprudemment fait saillir en resserrant les cuisses (erreur de débutant...). Plus par réflexe que par révolte, je me suis redressé brutalement (j’étais à quatre pattes) et j’ai bousculé ma maitresse. Elle est allée choir contre une poignée de porte qui lui a fait très mal...
Elle m’a simplement demandé de me remettre en position pour terminer la série. Je l’ai alors suppliée de la finir au fouet. Ce qu’elle a accepté, mais en doublant de nombre de coups restants. Je me suis remis en place et elle a changé d’instrument. Et j’ai été vigilant a ne pas lui présenter mes attributs. Les coups devenaient plus faciles moins difficiles à supporter pour moi.
Au bout d’un certain temps, j’ai commencé à ressentir une envie irrépressible de lui appartenir et de lui obéir. Ce fut une émotion forte. Quand la série s'est terminée, j’ai eu droit à une séance photo et une branlette contrôlée.
Je garde en moi un souvenir fort de ce moment riche en émotion, j'ai aussi ressenti chez ma maitresse un plaisir très fort et un enthousiasme qu'elle montrait rarement.